Top 5 des thérapies alternatives pour optimiser votre bien être

Voilà un peu plus de 3 ans que le site existe, il est temps pour nous de vous proposer un choix éclairé quant aux solutions naturelles les plus efficaces pour  améliorer grandement votre bien-être physiologique et psychique.

Ce top 5 est un mini Best of de nos 20 solutions naturelles présentées jusqu’à présent (Avril 2020) sur notre page dédiée aux thérapies alternatives pour soulager vos insomnies. A consulter ici.

Il a fallu faire un choix. Prioriser 5 méthodes sur 20. Pas évident !

Au vu du contexte actuel, nous nous sommes basés alors sur 3 critères :

Notre premier a été celui de votre système immunitaire. En effet, comment renforcer votre système immunitaire pour faire face aux infections hivernales comme le rhume, la grippe ou les virus ?

Notre deuxième critère se base sur  la capacité à gérer ses émotions dans un contexte particulièrement anxiogène (covid-19). En effet, comment gérer au mieux son confinement sans rentrer dans un état anxieux permanent ?

Quant au dernier critère, nous l’avons voulu préventif grâce à l’utilisation des plantes médicinales.

Les textes exposés ici ont majoritairement pour source les praticiens de ces thérapies. On vous invite à utiliser ces informations avec ouverture d’esprit mais aussi esprit critique, et avec l’accompagnement de votre médecin traitant. Considérez dès lors cet article comme un des plus importants de la plate forme.

Cet article inaugure une nouvelle section sur le blog :  CATÉGORIE BIEN ÊTRE  et comme d’habitude, n’hésitez à partager pour nous soutenir ! 🙂




1.LA COHÉRENCE CARDIAQUE

pour gérer le stress et l’anxiété en utilisant le rythme du cœur

La cohérence cardiaque est une pratique d’autoguérison émotionnelle par des exercices de respiration, qui va permettre de gérer stress, dépression ou même problèmes de tension.

La cohérence cardiaque part du principe que le cœur, qui possède 40 000 neurones, n’est pas seulement une pompe, mais qu’il y a une véritable intelligence.

La plus grande partie de nos émotions naît dans le système limbique du cerveau et déclenche des réactions dans notre organisme. Et le cœur est certainement le premier à réagir à ces situations  émotionnelles, nous en faisons régulièrement l’expérience. Or si le cerveau a une influence sur les fonctions cardiaques, de récentes études concluent que le cœur a aussi une influence sur les fonctions cérébrales.

Il y a donc un dialogue permanent entre le cœur et le cerveau et ce dialogue est à double sens.

La communication se fait par le biais du système nerveux autonome qui est divisé en deux parties distinctes : le système autonome sympathique (qui produit dopamine, cortisol et adrénaline) et le système autonome parasympathique (qui produit la sérotonine, la DHEA, ou l’acétylcholine).

Le système sympathique est comparable à un accélérateur, tandis que le système parasympathique fonctionne comme un frein.

Pour donner un exemple, sous le coup d’une colère, le cerveau va engendrer une forte production de cortisol et l’organisme va ensuite s’épuiser pour se débarrasser du trop plein.

Pour pallier à cet afflux indésirable de cortisol produit par le système sympathique, il faudra alors stimuler le système parasympathique.

La cohérence cardiaque est diffusé en France par la fondation du docteur David Servan-Schreiber.

Ce dernier était médecin et professeur à l’université de Lyon 1 mais également à l’université de Pittsburgh aux Etats-Unis. Il a surtout été découvert par le grand public en 2003 lors de sa sortie de son best seller Guérir et plus récemment Guérir le stress, l’anxiété, la dépression sans médicaments, ni psychanalyse.

Une séance pour qui ?

Partant du postulat que le cœur influence le cerveau, la cohérence cardiaque va utiliser le dialogue cœur-cerveau pour procurer calme et apaisement chez un individu, ou stimuler sa performance intellectuelle, sa concentration ou sa clarté d’esprit.

Elle va pour cela s’appuyer sur le fait que si l’on respire d’une certaine façon, on reprend le contrôle de ses fréquences cardiaques.

Et si l’on respire en portant son attention sur un point particulier du corps (le cœur) et qu’on fait venir à l’esprit des images très agréables, on va stimuler le système parasympathique, ce qui aura pour effet de réguler les conséquences négatives de la stimulation excessive du système sympathique.

La cohérence cardiaque permet de se sentir mieux et de reprendre le contrôle sur ce que l’on ressent et sur ses émotions. Ses effets sont multiples. Elle peut permettre de baisser le niveau de stress et d’atténuer fatigue, maux de ventre ou de dos et les tensions musculaires qui peuvent être liés.

Des études ont aussi prouvé son efficacité sur les femmes souffrant de problèmes prémenstruels ou dus à la ménopause, ainsi que sur les personnes ayant des problèmes de tensions artérielle ou celles qui ont du poids à perdre.

De plus, elle permettrait également de stimuler considérablement la production de DHEA, l’hormone de la jeunesse et d’augmenter notre immunité de façon significative.

Consulter la thérapie alternative « cohérence cardiaque »


2.LA CHRONOBIOLOGIE

pour respecter notre horloge biologique et vivre mieux.

La chronobiologie est une discipline qui étudie les relations entre le temps et les êtres vivants. Dans la chronobiologie, le temps a une influence vitale sur notre organisme, car notre corps réponds à des rythmes biologiques multiples. Trois d’entre eux sont majeurs et régulent la plus grande partie de nos fonctions vitales.

Le premier est le rythme circadien qui est calé sur le cycle d’une journée de 24 heures. Le seconds est le rythme ultradien, calé sur quelques heures, tandis que le dernier, le rythme infradien, se positionne sur une période longue correspondant à un mois ou à une saison.

Ces trois horloges contrôlent un grand nombre de fonctions de notre organisme et leur bonne synchronisation détermine notre bien-être quotidien. Création d’hormones, variations thermiques, digestion, assimilation, renouvellement cellulaire ou fertilité, toutes ces fonctions doivent être synchronisées pour préserver l’harmonie dans notre fonction biologique.

La dérégulation de l’une de nos horloges biologiques peut entraîner des troubles psychiques (sommeil, comportement) et d’importantes perturbations physiologiques.

La chronobiologie étudie donc ces rythmes ainsi que les conséquences de leur perturbation. Elle aide à synchroniser l’horloge biologique du consultant avec les diverses activités quotidiennes de celui-ci.

Une séance pour qui ?

La chronobiologie va vous aider à découvrir votre rythme biologique, à vivre en respectant ce rythme et à savoir quels horaires vous conviennent le mieux pour faire certaines activités.

La chronobiologie tient compte de ce rythme dans l’alimentation, dans l’activité physique ou dans la prise de certains traitements et permet d’être moins fatigué, moins angoissé ou nerveux, mais aussi plus efficace.

Elle est souvent utilisée dans le rééquilibrage alimentaire ou dans l’optimisation de l’entraînement sportif et dans les problèmes de stress, de dépression et de sommeil.

Consulter la thérapie alternative « chronobiologie »


3.L’HOMÉOPATHIE

pour une médecine globale qui intervient dans tous les domaines de santé.

Peu coûteuse et sans effets secondaires notables, l’homéopathie est un des modes de traitements les plus répandus au monde. Son approche globale vise à traiter le malade avant la maladie et s’intéresse à la fois au corps, aux émotions, au mental et à l’esprit. Son nom – homo pour semblable et pathos pour souffrance – traduit la loi de la similitudes sur laquelle elle repose : c’est à dire soigner un mal par un remède semblable à ce mal, mais à des doses extrêmement diluées.

C’est le principe de l’infinitésimal. Il s’agit de pousser les réactions de défenses corporelles sans rendre la personne malade.

C’est le docteur Hahnemann, un médecin allemand, qui l’a inventée à la fin du XVIIIe siècle. A la recherche de soins moins violents, il découvrit que l’écorce de quinquina, censée soigner le paludisme, entraînait au contraire à certaines doses les symptômes de cette maladie chez les non-malades. A partir de là, il comprit qu’une même substance peut avoir des effets nocifs ou bénéfiques selon les doses et l’état de la personne.

Après avoir testé sur lui-même des centaines de substances végétales, minérales et animales, le docteur Hahnemann élabora les trois fondements de l’homéopathie :

le semblable guérit le semblable (similitude), les substances les plus diluées sont les plus puissantes et chaque traitement doit être individualisé car la maladie est unique à chaque individu.

L’homéopathie est un système thérapeutique qui, depuis son invention, n’a cessé d’être décrié parce que les preuves scientifiques de son efficacité ne sont pas fermement établies :

L’Ordre des médecins prend position contre l’homéopathie

Des médecins anti-homéopathie jugés pour «non-confraternité» à Paris

Homéopathie: Des professionnels de la santé signent une tribune contre les médecines alternatives

Pourtant, les Français semblent lui accorder leur confiance, puisque plus d’un tiers d’entre eux utilisent l’homéopathie régulièrement.

Une séance avec un homéopathe pour qui ?

L’homéopathie est utilisée pour pratiquement toutes les maladies mais elle ne doit bien sûr pas remplacer les médicaments allopathiques en cas de maladies graves.

Les problèmes nerveux (états anxieux, déprime, dépression, troubles du sommeil, spasmophilie…) sont une des premières indications de l’homéopathie suivis par les infections et leur prévention (rhume, sinusite, mal de gorge, grippe, laryngite, rhino-pharyngite, bronchite, herpès…) et les allergies (eczéma, psoriasis, rhume des foins..).

Bien que les recherches scientifiques soient pour l’instant limitées, les premières études soulignent aussi l’efficacité de l’homéopathie en cas d’épidémies de grippe, d’allergies respiratoires (désensibilisation homéopathique), de diarrhée (amélioration), de douleurs comme l’arthrose, la fibromyalgie (soulagement des symptômes), de fatigue chronique, d’entorses et également pour réduire certains effets secondaires des chimiothérapies ou des handicaps consécutifs à des traumatismes crâniens légers.

L’homéopathie s’applique aussi aux animaux. Certains vétérinaires prescrivent en effet des substances homéopathiques pour soigner les animaux.

Consulter la thérapie alternative « Homéopathie »


4.LA PHYTOTHÉRAPIE

pour une médecine par les plantes

phytothérapieL’usage médical des plantes est présent depuis la nuit des temps dans toutes les grandes civilisations et l’univers végétal est loin d’avoir livré tous ses secrets. Alors que 350 000 espèces sont répertoriées sur la planète, on connait la composition chimique de seulement 1% d’entre elles !

Depuis le milieu du siècle dernier, l’industrie pharmaceutique a détrôné les plantes au profit de médicaments jugés plus modernes. Même si ces derniers sont souvent conçus à partir de molécules de plantes (aspirine, morphine, quinine…), la phytothérapie diffère complètement en privilégiant l’action du totum de la plante (l’ensemble des molécules) qui serait supérieur aux molécules isolées.

Par exemple, l’acide acétylsalicylique, le composé de l’aspirine, est une substance active de la reine des prés et de l’écorce de saule. Sous forme de médicament cette molécule peut entraîner des brûlures gastriques.

À contrario, la plante entière dont elle est issue, la reine des prés, contient des tanins pour protéger l’estomac ce qui permet ainsi de réduire les douleurs et fièvres sans les risques d’effets secondaires sur la sphère gastrique.

Cependant, toutes les plantes sont puissantes et leur prise au long cours nécessite l’avis d’un professionnel de santé, idéalement un médecin phytothérapeute. Ces derniers sont encore rares et le métier d’herboriste a désormais quasiment disparu en France (abolition de la profession et du diplôme depuis 1941).

Gageons qu’avec l’intérêt pressant des patients, le nombre de professionnels formés suivent !

Une séance avec un phytothérapeute pour qui ?

Médecine millénaire, la phytothérapie s’adresse à tous aussi bien en prévention, que pour les maux du quotidien ou en accompagnement des traitements de maladies plus graves (en coordination avec les médecins). Les plantes ont fait la preuve de leur efficacité  – voire de leur supériorité – dans un grand nombre de domaines comme les problèmes digestifs, la dépression (millepertuis), les migraines (grande camomille), l’amélioration des fonctions cérébrales (ginkgo biloba), les infections respiratoires (échinacée), les infections urinaires (canneberge), les troubles de la prostate, la ménopause, etc. La liste est longue et chaque jour de nouvelles études viennent valider l’observation des anciens.

Finalement les seules limites et contre-indications à l’utilisation des plantes résident dans leur efficacité ! Perçues comme naturelles, on sous-estime parfois leur puissance.

Aussi les femmes enceintes, allaitantes et jeunes enfants doivent recevoir un avis médical avant de recourir à la phytothérapie.

Il en est de même pour toutes les personnes avec une maladie grave ou chronique ou sous médicament : de nombreuses substances végétales sont susceptibles d’interférer avec les molécules chimiques (anticoagulants notamment) augmentant ou contrecarrant leurs effets.

Consulter la thérapie alternative « Phytothérapie »


5.L’AROMATHÉRAPIE

pour combattre les maladies grâce aux huiles essentielles

L’aromathérapie est une médecine douce qui consiste à utiliser des huiles essentielles de plantes pour le bien-être et la santé. Les Egyptiens utilisaient déjà les huiles essentielles, non seulement pour embaumer leurs momies, mais aussi pour faire des fumigations, ou encore fabriquer des onguents.

Les méthodes d’extraction de l’huile essentielle sont variées et ont beaucoup évolué depuis l’Antiquité. Aujourd’hui, on extrait l’huile essentielle en utilisant des corps gras, des solvants, ou encore en faisant de la distillation à la vapeur ou de l’extraction à froid. On compte près de 500 essences issues de plantes, mais dans la pratique, seulement une centaine d’entre elles sont utilisées en aromathérapie.

Les principes actifs des plantes aromatiques sont en fait véhiculés par l’intermédiaire des huiles essentielles, qui possèdent des qualités d’absorption et de diffusion importantes.

Il existe 4 grands modes d’utilisation des huiles essentielles dans l’aromathérapie : par voie orale, rectale, cutanée ou par les voies respiratoires.

Attention, certaines huiles essentielles peuvent être toxiques, ou entraîner des irritations ou des allergies, c’est pourquoi il est recommandé de ne pas faire de l’automédication et de consulter un thérapeute spécialisé dans l’aromathérapie.

Le terme aromathérapie a été créé en 1928 par René-Maurice Gattefossé un pharmacien de nationalté française. On considère que l’aromathérapie fait partie des médecines naturelles plutôt que des médecines douces car il est averé que les huiles essentielles ont des effets importants sur l’organisme.

Elles peuvent être utilisées dans d’autres domaines que la médecine comme par exemple la cosmétique ou la cuisine.

Une séance avec un aromathérapeute  pour qui ?

Les huiles essentielles ont en commun une forte concentration de produit actif et des propriétés antiseptiques et antimicrobiennes. En outre, chaque huile essentielle possède ses vertus spécifiques, en fonction des molécules qui la composent, pour traiter ou soulager des maux particuliers.

Antalgiques, spasmolytiques, antibactériennes, anti-inflammatoires, à visée digestive, cutanée ou cicatrisante, les plantes utilisées en aromathérapie offrent une palette très large de propriétés qui vont permettre de répondre à un grand nombre de troubles et de maux.

Certaines huiles essentielles sont aussi réputées agir sur le psychisme et l’inconscient et peuvent permettre de se détendre et d’apaiser certains maux psychologiques.

Les huiles essentielles peuvent par ailleurs être combinées entre elles pour obtenir des synergies et avoir un effet plus important sur une pathologie donnée.

Consulter la thérapie alternative « Aromathérapie »


 

Cliquez ici pour laisser un commentaire